lunes, 29 de octubre de 2012

‘El País’ burla la censura de Cebrián y Moreno con mensajes en crucigramas




Desde que se presentó el ERE, Javier Moreno, director del rotativo, ha presionado y amenazado, según el comité de empresa, a los redactores para que no dejasen sin firmar las informaciones que habían elaborado. Siguiendo órdenes de Cebrián, el director ejerció sus presiones directamente y a través de los subdirectores y redactores jefes. Esa actuación de Moreno provocó un divorcio irreversible entre la Redacción y su director. aquí.

La censura en Grupo Prisa continúa: 'El País' mutila la columna de Santos Juliá
Enésimo capítulo críticas de colaboradores del rotativo que la dirección se ha encargado de acallar. Los responsables del diario eliminan una referencia a Enric González y otra a las diferencias entre retribuciones salariales en la opinión del historiador. aquí.

viernes, 26 de octubre de 2012

Una de cada cuatro personas, en paro


Nuevo récord histórico. El número de desempleados en España alcanza a 5.778.100 personas y la tasa de desempleo el 25,02%. El Mundo



Portadas tomadas de kiosko.net

Spain: Autonomy under fire, David Gardner (FT)



The Spanish government, trapped in crossfire at the frontline of the battle for the euro, looks as if it is opening a second front – by using the crisis as pragmatic justification and political cover to roll back a highly devolved system of regional government that the ruling Partido Popular ideologically detests. Financial Times.

miércoles, 24 de octubre de 2012

Progresiva inserción de léxico militar



ERC pide a Rajoy un compromiso público de no utilizar las Fuerzas Armadas (El Mundo).

El diario "La Opinión" anuncia su apoyo a Obama

Spanglish, language del futuro, aquí.

'In un placete de La Mancha of which nombre no quiero remembrearme', aquí.
 
El mayor medio impreso y digital en español en Estados Unidos es el segundo después de Los Angeles Times que anima a los electores a votar por el actual presidente y candidato demócrata, aquí


La Opinión

El 73 por ciento del voto latino sería para Obama y le aseguraría la victoria, aquí.


Obama y Romney, a la caza del voto latino en los estados péndulo (BBC Mundo).

martes, 23 de octubre de 2012

Clark Kent deja el ‘Daily Planet’


Superman presenta su dimisión ante la deriva sensacionalista del diario (elpais.comelpais.com)

Jean Stern Les patrons de la presse nationale Tous mauvais

La presse va mal en France parce que les patrons du CAC 40 ont mis la main dessus : telle est l’idée centrale de ce livre. À la Libération, on ne parlait que de mettre les journaux à l’abri des puissances d’argent, de protéger leur indépendance. Mais au fil des années, cette louable ambition s’est effilochée. Aujourd’hui, les Arnault, les Dassault les Pigasse, les Lagardère, les Pinault, les Bolloré et autres seigneurs contrôlent la presse nationale via leurs holdings aussi opaques que rémunératrices. Jean Stern, homme de presse s’il en est, montre comment les “journalistes-managers” – July, Colombani – ont conduit Libération et Le Monde à leur perte avant d’en être éjectés sans égard. Comment les journaux qui perdent de l’argent permettent aux patrons de payer moins d’impôts ? Comment les divers “conseils de surveillance”, “chartes d’indépendance” et autres gadgets n’empêchent nullement les patrons de pressurer les rédactions en exigeant des économies ?


Jean Stern
Jean Stern est journaliste. Ancien de Libération et de La Tribune, il a également travaillé pour 7 à Paris et Le Nouvel Économiste. Il a participé à la fondation de Gai Pied en 1978 et est l’éditeur de la revue De l’autre côté. Il est aujourd’hui directeur pédagogique de l’EMI, Scop de formation à l’université Paris X.

Ignacio Ramonet L'Explosion du journalisme Des médias de masse à la masse de médias


PRÉSENTATION
Cet essai critique propose une anatomie de l’explosion de la presse écrite à l’heure où l’ensemble de l’écosystème médiatique est dynamité par les impacts successifs de la révolution numérique et du prodigieux développement des réseaux sociaux. Chaque citoyen, dans la nouvelle société-réseau, a vocation à devenir « journaliste » en s’appropriant des dispositifs légers comme les blogs ou les réseaux sociaux Twitter et Facebook qui offrent un potentiel communicationnel exceptionnel. Des individus possèdent désormais le pouvoir de communiquer entre eux des sons, des textes et des images, d’échanger de l’information, de la redistribuer, de la mélanger à d’autres documents, de réaliser leurs propres photos ou vidéos et de les mettre sur la Toile où des masses de gens vont les voir, et à leur tour participer à la circulation circulaire de l’information... Certains envisagent même un « journalisme sans journalistes », à la manière du média social WikiLeaks, pour garantir, face aux pressions des États, des groupes multimédias géants et des pouvoirs autocratiques, l’existence d’une indispensable information libre et indépendante. Un monde sans secrets...
Mais le passage de l’ère des médias de masse à celle de la masse des médias ne se fait pas sans dégâts. Établis au cours d’un siècle et demi de domination médiatique, les repères théoriques et les références pratiques du journalisme se révèlent, soudain, inadaptés. Sous les diktats de la vitesse, de l’immédiateté et du marché, les lois de l’information changent très vite. Alors que se multiplient les risques de manipulations et de bidonnages. Certains genres plébiscités par l’opinion publique, comme le journalisme d’investigation ou le journalisme de reportage, sont déjà en voie de disparition. Parce qu’ils coûtent cher. Et le nouveau système n’a pas encore mis au point un modèle d’entreprise de presse rentable. Entre-temps, des sites web novateurs continuent d’apparaître et de se renforcer. Mieux adaptés à l’écosystème nouveau, ils entrent en concurrence – et remplacent de plus en plus – les grands médias traditionnels en voie d’extinction.
Le journalisme survivra-t-il ? Sans doute, car il en a vu d’autres... Et n’a jamais connu d’« âge d’or ». Mais pour l’instant il se retrouve un peu dans la situation de Gulliver à son arrivée sur l'île des Lilliputiens, ligoté par des milliers de liens minuscules...
I. Ramonet
SOMMAIRE
Avant-propos : un changement d’écosystème

I. Une crise d’identité  

Le sacre de l’amateur

Comprendre ce qui se passe
Des « médias-soleil » aux « médias-poussière »
Déjà la fin du Blu-ray
 ?
Un paysage tchernobylisé
Newsweek vendu pour 1 dollar...
S’adapter ou mourir
Journalistes pressurés
La fin des reportages ?
Les nouveaux forçats de l’info
II. Érosion de la crédibilité des médias
Concentration excessive
« Idées saines »
Endogamie politico-médiatique
La censure démocratique
La mort du « quatrième pouvoir »
Une seule sphère
Une matière première stratégique
Pour un « cinquième pouvoir »
Appareils idéologiques de la mondialisation
L’information contaminée    III. « Serial bidonneurs »

Intox sur l’Irak
La statue de Saddam
L’affaire Kelly
L’affaire Valerie Plame
Au bord du précipice   IV. Innovations et réussites 
Journalisme à but non lucratif
The Huffington Post
Politico.com
Journalisme de base de données   V. WikiLeaks
L’affaire du Probo Koala
Merci Twitter !
Meurtre collatéral
Assange diabolisé
Au service de l’intérêt public
D’abord, ne pas nuire
Des démocraties qui mentent
L’exception tunisienne
Protéger les sources
L’affaire Sherrod
Des torts dévastateurs   VI. Vers quel modèle de rentabilité ?
Le mur payant
L’information automatique
Infos « low cost »
Des « fermes de contenus »
Payés au clic
Audience ou fiabilité ?
Insécurité informationnelle   VII. Les journaux vont-ils survivre ?
Les avions ne remplacent pas les bateaux
Le succès de Die Zeit

web de la editorial.

McLuhan Marshall, Comprender los medios de comunicación. Las extensiones del ser humano



Marshall McLuhan
Editorial Paidós, 15/02/2009 
Algunas de las expresiones creadas hace unos años por Marshall McLuhan, como “aldea global” o “el medio es el mensaje”, han pasado ya a formar parte de nuestro vocabulario habitual. Y, del mismo modo, sus teorías siguen desafiando nuestra sensibilidad y nuestros supuestos acerca de cómo y qué comunicamos. Lo que mucha gente no sabe, sin embargo, es que todo ello partió del libro que el lector tiene en sus manos: un clásico de la comunicación de masas que hoy en día, en un nuevo contexto, pide ya una nueva definición. Precisamente, este es el objetivo de esta cuidada reedición: no sólo aprovechar el notable resurgimiento del interés por la obra de McLuhan para relacionarla con los últimos avances en el citado campo -de la televisión por cable a los últimos inventos en el campo de la telefonía, pasando por el desarrollo de nuevas ecologías de la información y la aparición de revistas especializadas-, sino volver a evaluar el texto a la luz de los cambios tecnológicos, políticos y sociales que se han producido en los albores del siglo XXI, lo que queda perfectamente reflejado en la nueva introducción de Lewis H. Lapham.

En acceso libro desde cientos de enlaces. Utilizado con fines excluysivamente docentes.

LOS HAPPINESS - Amo a Laura pero esperaré hasta el matrimonio



quién.
http://www.bbdo.com

lunes, 22 de octubre de 2012

Cómo nos venden la moto


Noam Chomsky, Ignacio Ramonet
Icaria Editorial, 1995 - 102 páginas
La propaganda es a la democracia lo que la cachiporra al estado totalitario. Chomsky nos muestra, tomando casos concretos, qué son las técnicas de persuasión, cómo y quién las aplica, con qué intenciones y cómo actúan sobre nosotros. Ramonet da un paso más. Examina, e ilustra con hechos, cómo los medios de control y vigilancia se han multiplicado con la fantástica capacidad de las nuevas herramientas. ¿Quién tiene la propiedad de estos medios?

Jornada de reflexión


'La Razón' lanza una 'directa' en la jornada de reflexión
El diario nacional 'La Razón' sale este sábado (20/10) a los kioscos con una arriesgada portada en plena jornada de reflexión. aquí.


"Votar PP es votar Constitución" (ABC)

El 52% de las empresas en España aumenta el presupuesto dedicado a redes sociales


Un 52% de las empresas en España ha aumentado su presupuesto para comunicación en medios sociales y digitales en el último trimestre, frente al 43,5% a escala mundial, según el barómetro trimestral Grayling Pulse. No obstante, según revelan las respuestas de los responsables de comunicación que han participado desde España en esta encuesta, el 18% de las empresas españolas carece de una estrategia «definida, estructurada y operativa» para comunicación en redes sociales, un porcentaje ligeramente por debajo del 22% a nivel global. Asimismo, el 43% de los especialistas en comunicación encuestad... Más información

Corporativo Grupo Godó


'La Vanguardia', líder indiscutible en Catalunya y tercer diario de España
Barcelona 04/07/2012 (info corporativa)
La Vanguardia se consolida nuevamente como el diario líder indiscutible en Catalunya con 816.000 lectores diarios, según la última oleada del Estudio General de Medios (EGM). El rotativo del Grupo Godó consolida así su posición como tercer diario más leído de España, después de El País y El Mundo. 

‘La Vanguardia’, socio protegido de Mas, sitúa a CiU al borde de la mayoría absoluta ELPLURAL.COM | 30/septiembre/2012
La Generalitat de Mas financia generosamente una red de medios ‘soberanistas’ con el Grupo Godó como puntal. ELPLURAL.COM | 28/septiembre/2012

domingo, 21 de octubre de 2012

El gran desafío de la prensa La industria busca fórmulas para transformar los lectores ‘online’ en ingresos


Más de 2.500 millones de personas leen periódicos en papel en todo el mundo y más 600 los siguen en formato digital. Pero esta ecuación está cambiando en Europa, Estados Unidos y Latinoamérica, que ven descender las ventas en los quioscos. La crisis de los medios tradicionales, provocada por la irrupción de Internet y el desplome de los ingresos publicitarios, se ve agravada por la crisis económica global. El reto de la industria periodística —que sigue los mismos patrones de hace 200 años— es buscar fórmulas para transformar los lectores online en ingresos. Los editores consideran que el problema no es de público sino de modelo de negocio. Estas son las medidas adoptadas por algunas de las más prestigiosas cabeceras para hacer frente al nuevo ecosistema digital.

REINO UNIDO

La sangría del The Guardian

The Guardian, estandarte del periodismo progre en Reino Unido, se desangra. La caída de las ventas en la edición de papel está llevando a sus editores a plantearse el cierre de la edición impresa, según aseguraba esta semana The Daily Telegraph. El Guardian ha apostado abiertamente por un futuro digital, pero ese futuro, que confía en cimentar sobre todo a partir del mercado de lectores de centro izquierda de EE UU, está muy lejos de ser rentable.

Guardian News and Media (GNM), empresa editora del Guardian, del dominical The Observer y del portal digital guardian.co.uk, abrió en julio un proceso para suprimir entre 70 y 100 empleos editoriales mediante bajas voluntarias, pero solo 30 redactores han aceptado la oferta. El diario, que asegura que no quiere recurrir a despidos forzosos, ha abierto negociaciones con el sindicato nacional de periodistas (NUJ) para buscar fórmulas que ahorren siete millones de libras al año (8,5 millones de euros). GNM perdió el pasado año fiscal 44,2 millones de libras. La compañía ya suprimió 203 puestos de redacción en 2010, hasta dejar la plantilla en 1.500 trabajadores, y procedió a una segunda ronda de bajas voluntarias en 2011.

El consejero delegado del grupo (Guardian Media Group, que perdió 75,6 millones de libras en 2011), Andrew Miller, se ha impuesto un recorte del 10% en su salario y ha renunciado a su bonus de 174.000 libras. En el año fiscal de 2011 recibió una remuneración total de 642.000 libras. El director del Guardian, Alan Rusbridger, también se ha recortado el salario un 10% y ha recibido un total de 457.000 libras, más 150.000 libras en su fondo de pensiones. Las pérdidas del Guardian son absorbidas por el Scott Trust, pero están llegando a un nivel difícil de asumir.

ITALIA

'La Reppublica' ofrece contenidos especiales en su versión para iPad
Al borde del abismo

La crisis de ventas y la bajada en los precios de la publicidad afectan a todos los medios. La Repubblica vendía en enero de 2012 el 3,7% menos que en el mismo mes del año anterior (391.842 ejemplares frente a 406.850) y Il Corriere della Sera ha bajado de 437.800 ejemplares a 434.500. Los ingresos por la publicidad se redujeron un 6,3% entre enero y noviembre de 2011 con respecto al curso anterior. La Repubblica ofrece contenidos especiales y de investigación a los abonados a una edición especial y vespertina para iPad. Pero las fórmulas digitales aún no son tan rentables. Poco más de 10.000 personas se bajan Il Corriere en el quiosco online.

Este contexto general afecta a los trabajadores. “La situación se ha puesto cruda en los últimos tres años”, comenta Franco Siddi, secretario del único sindicato de periodistas (FNSI). “Decenas de publicaciones han echado el cierre y otras han declarado el estado de crisis, se ha prejubilado a cerca de 700 trabajadores con más de 58 años [70 en La Repubblica y 40 en Il Corriere]. Por suerte, aún nadie ha sido despedido”.

El gremio de periodistas cuenta con muchas protecciones: antes que recortar la plantilla, las empresas recurren a la cassa integrazione o al contrato de solidaridad, dos formas de reducción de horario (y de sueldo) que permiten rotar a los afectados sin echar a nadie. “El lema es ‘trabajar menos pero trabajar todos”, resume Siddi. Estas medidas tienen un plazo de dos años. Muchas están a punto de agotarse.

ALEMANIA

Secuelas de la recesión

El tercer trimestre de este año ha estado marcado por la caída de la difusión. El primer diario generalista, el Süddeutsche Zeitung, vendió 2.000 ejemplares menos que en el mismo periodo del año pasado, un total de 413.000 ejemplares. El Frankfurter Allgemeine Zeitung vendió 354.000, un 1,8% menos que en los mismos meses de 2011. Según el portal Meedia.de, el que más cayó fue el popular Bild, que redujo sus ventas en 156.000 ejemplares (un 5,4% menos), aunque sigue siendo el diario más vendido y leído del país.

El año de la gran recesión en Alemania, 2009, fue el que más afectó a los medios impresos, entre ellos el Süddeutsche Zeitung. Su director adjunto, Wolfgang Krach, declaró en 2010 que las consecutivas reducciones de plantilla, que empezaron a llevarse a cabo en 2008 con jubilaciones y salidas voluntarias, habían “superado el límite aceptable”. La compañía propietaria del periódico, la editora SWMH, acaba de anunciar 21 despidos en la redacción, 14 de ellos periodistas. En 2009, el diario registró pérdidas de unos 10 millones de euros.

ESTADOS UNIDOS

El ejemplo del Times

The New York Times decidió hace cinco años enfrentarse a la crisis económica y de los medios de comunicación por dos vías igual de agresivas. Redujo costes con la venta de bienes inmuebles y cabeceras locales y abordó recortes de personal. Despidió a 100 periodistas (el 8% de su plantilla) en 2009 y este año otros 50 profesionales han dejado la compañía.

En marzo de 2011, el Times anunció que cobraría por su contenido en Internet. El sistema de suscripciones es más flexible que el adoptado por medios como The Wall Street Journal y ofrece precios escalonados para adaptarse a cada tipo de lector. Los usuarios, además, pueden acceder gratis a 10 artículos al mes. Más de medio millón de personas han contratado una suscripción digital. Pese a todo, presentó pérdidas netas de 88 millones de dólares (71 millones de euros) en el segundo trimestre de 2012, con una caída de los ingresos publicitarios del 6,6%.

Con información de W. Oppenheimer, L. Magi, M. Ruiz del Árbol, J. Gómez y C. F. Pereda.

El fin de un negocio boyante

R. G. G.
Los periódicos se mueven en España en una extraña paradoja: el segundo país de la UE con más cabeceras es uno en los que menos se lee. A la sobreabundancia de diarios ha contribuido el hecho de que en los últimos 15 años la prensa haya sido un negocio boyante. En 2007, antes de que estallara la crisis económica global, el sector ganó 232 millones de euros, beneficios que en 2010 descendieron a 58, según datos de la Asociación de Editores de Diarios Españoles (AEDE).
Pero el desplome de los anuncios (en ese mismo periodo la facturación publicitaria cayó a la mitad), el descenso de la venta de ejemplares (un 15% menos) y la migración de lectores hacia Internet está haciendo tambalear los cimientos de toda la industria. “En 2010 pensábamos que habíamos tocado suelo. Pero 2011 fue peor y 2012 está siendo dramático”, afirma el presidente de la AEDE, Conrado Carnal. Este año se están registrando drásticas caídas en la inversión publicitaria (por encima del 20%). La facturación de Internet es insuficiente (en la prensa generalista ronda el 11,8%, el 30% en la deportiva), y los quioscos digitales tampoco son una gran fuente de ingresos.
Desde noviembre de 2008, un total de 7.918 profesionales de la información (no solo periodistas) han perdido su empleo. “Son datos aproximados, porque es difícil hacer un seguimiento”, advierte la Federación de Asociaciones de Periodistas de España (FAPE), que ha computado el cierre de 67 medios, sobre todo revistas.
De las casi 8.000 bajas contabilizadas hasta mediados de octubre, 3.039 corresponden a este año. La lista incluye 1.198 afectados por el expediente de regulación de empleo (ERE) de la Radiotelevisión Valenciana, que aún no ha finalizado y está recurrido ante los tribunales, pero no recoge el proceso puesto en marcha por Unidad Editorial (entre 170 y 195 salidas en el diario deportivo Marca, el económico Expansión, la cadena Radio Marca, las revistas y suplementos especializados) ni el de EL PAÍS, que afecta a 149 trabajadores, un tercio de su plantilla.
Todos los grandes grupos (Vocento, Zeta, Godó, Joly, Prensa Ibérica) han emprendido recortes a través de bajas incentivadas, prejubilaciones y despidos. Y eso se ha dejado notar en los balances. En 2007, el coste de personal de los diarios era de 650 millones de euros; en 2010 la factura había bajado a 524 millones. En los últimos dos años se han acelerado las bajas y muchos rotativos han echado el cierre, entre ellos una cabecera de tirada nacional (Público), tres de los cuatro grandes gratuitos (Metro, Adn y Qué!) y una cadena de regionales, como La Tribuna de Salamanca, Guadalajara Dos Mil, La Gaceta de Canarias, La Voz de Jaén, La Voz de Asturias y varias ediciones locales de El Mundo, entre otros.
Muchos de estos rotativos nacieron a la sombra de la burbuja inmobiliaria. Constructores que “querían tener un órgano para difundir sus propias noticias, que les proporcionara plusvalías políticas y sociales”, afirma Pedro Farias, vicerrector de la Universidad de Málaga.

EL PAÍS 20 OCT 2012

miércoles, 17 de octubre de 2012

Las razones del federalismo


La vía evolutiva a través de los Estatutos ha sido clausurada por el propio TC. La opción federal no es una panacea, sino un programa que puede proveer un horizonte razonable para una mayoría de españoles
RAMON MAIZ 17 OCT 2012, aquí

martes, 16 de octubre de 2012

Discurso de Charles Chaplin en El Gran Dictador 1940



The Great Dictator (1940) 
125 min  - 
Comedy | Drama | War  
Dictator Adenoid Hynkel has a doppelganger, a poor but kind Jewish barber living in the slums, who one day is mistaken for Hynkel.
Director: Charles Chaplin
Writer: Charles Chaplin
Stars: Charles Chaplin, Paulette Goddard and Jack Oakie | See full cast and crew

viernes, 12 de octubre de 2012

¿Merece España un ráting como el de Croacia, Colombia o Marruecos?

La economía española se encuentra en horas muy bajas. Dos de las tres grandes agencias de ráting (Moody's en junio y S&P esta semana) han situado la deuda soberana española a un escalón del grado de inversión especulativa, equiparando nuestra calificación a la de países como Croacia, Uruguay, Colombia o Marruecos. ¿Merece España estar al borde del bono basura?


Miles de personas secundan la marcha antisecesionista celebrada en Barcelona


Los balcones de un edificio de la calle de Comte d'Urgell, en Barcelona. IOSU DE LA TORRE


Portada de La Razón

El Mundo
Galería de fotos (ABC)



miércoles, 10 de octubre de 2012

Defensa promueve la unidad de España en el vídeo del 12-O

Este año se ha cambiado el mensaje del valor humanitario del Ejército por el del "esfuerzo común" y la "fiesta de todos". elperiodico.com

spot 2010

Ofensiva de los medios españoles







Cataluña salva su balanza de los 'números rojos' por las ventas a España en pleno órdago soberanista. expansion.com

La actividad comercial de Cataluña con el exterior presenta hasta junio un superávit de 5.355 millones de euros. Un dato posible gracias al saldo positivo de casi 11.700 millones que le proporciona la balanza con el resto de España, y que sirve para enjugar el déficit de 6.330 millones de las relaciones comerciales con el resto del mundo en el primer semestre.



Retiran a un 'mosso' la custodia de su hija por 'no enseñarle castellano'; elmundo.es


España y Francia celebran la primera cumbre bilateral en tres años en París.



Rajoy: "Quiero que todo el mundo se sienta orgulloso de ser a la vez catalán y español"

Rajoy y Hollande piden agilizar la puesta en marcha del pacto de crecimiento

Tres de cada cuatro catalanes quieren un referendo sobre la independencia


La consulta independentista ha alcanzado en poco tiempo un nivel de apoyo entre los catalanes similar al que tenía el concierto económico. El 74,1% de los ciudadanos son partidarios de un referendo para decidir si Catalunya debe ser "un nuevo Estado de Europa" mientras un 20% está en contra, según una encuesta del Centre d'Estudis d'Opinió (CEO) de la Generalitat. Es el primer sondeo oficial del Govern desde la masiva manifestación de la Diada y el fracaso del pacto fiscal. aquí.


El Congreso rechaza que Catalunya pueda convocar referéndums con los votos del PSC
PP, PSOE y UPYD no apoyan la propuesta de ERC, mientras que CiU, Izquierda Plural, PNV y el Grupo Mixto la han apoyado


http://www.lavanguardia.com/politica/20121009/54352818191/congreso-rechaza-catalunya-pueda-convocar-referendums-votos-psc.html


Wert: “El interés del Gobierno es españolizar a los alumnos catalanes”


El ministro insiste en que deben tener la "vivencia equilibrada de las dos identidades"
Wert: “El catalán es una lengua que hablo y leo”
Wert achaca el auge del independentismo a la descentralización educativa El País

Reacciones: 
El Rey a Rajoy: “Le he dicho a Wert que está muy mal lo que ha hecho” (El País, 12/10)
La Casa Real niega que el monarca haya reprendido a Rajoy por Wert (El Mundo, 12/10)


El españolismo de Wert desempolva un chiste de 1937
(elperiodico.com)



Orden de 28 de agosto de 1936, p. 3, del Boletín Oficial de la JUNTA DE DEFENSA NACIONAL DE ESPAÑA.-Burgos 29 agosto 1936, Número 13

sábado, 6 de octubre de 2012

Victoria Prego: “El franquismo fue una dictadura suave al final”

El agónico fin de la historiografía que construyó el mito de la Transición... 



Juan Bosco Martín Algarra / sábado, 06/10/12 - 06:00. La Información.
Ha estado en la primera línea del periodismo español desde antes de la muerte de Franco. Experta en la Transición, afirma que los partidos ahora "ejercen una resistencia pasiva" frente a la sociedad.


Adjunta al director del diario El Mundo, es una de las pocas periodistas de este país que puede presumir de conocer toda la historia de nuestra democracia. Se ha ganado el respeto de izquierda y derecha por su independencia y moderación. Rehúye tanto de los gritos como de las medias tintas. Por eso no esconde un severo juicio contra cierta parte de la clase política: "viven protegidos por los fondos públicos".

ASÍ NACIERON LOS POLÍTICOS PROFESIONALES
La gente dice: “nuestros políticos son peores que los de la Transición”. Usted que la vivió muy de cerca, ¿es eso cierto?
El descontento está fundamentado. La gente sabe que, en medio de una crisis terrible, hay ciertos españoles que viven protegidos por los fondos públicos y por redes de clientelismo político tejidas a todos los niveles, en todas las organizaciones y en todos los poderes: empresas, asesorías, instituciones... ahí se han refugiado muchos colegas del partido de turno.

¿Y no ocurría lo mismo en la Transición?
Entonces la clase política aún no estaba asentada. La mayoría de los políticos ya tenían una profesión. Se metieron en política por vocación. En todos ellos dominaba claramente el interés general, no el interés de los partidos, como sucede ahora. De ahí que se demande una regeneración -y una ventilación- de las estructuras políticas españolas.

Se dice que debemos recortar el tamaño del Estado. Pero la izquierda en bloque (partidos, sindicatos, movimientos sociales...) siente alergia ante la palabra “recorte”.
La izquierda comete el error de sacralizar el sector público. Considera que lo público es garantía de buen funcionamiento y de transparencia, lo cual es completamente falso. El sector público debe existir para garantizar determinados servicios sociales, por supuesto, pero no es garantía de honestidad o eficacia. Lo hemos comprobado repetidas veces a lo largo de los años. Ahora bien: tanto izquierda como derecha abominan de recortar SU propia estructura. No quieren suprimir esos cargos en donde han colocado a gente del partido. Evitan por todos los medios que los que ellos consideran “los nuestros” se queden sin trabajo. La sociedad sabe distinguir unos recortes de otros.

¿Cuándo los partidos dejaron de ser una expresión de libertad para convertirse en una muestra del déficit democrático?
No hubo un momento concreto, ha ido sucediendo poco a poco. La UCD y Alianza Popular, al ser partidos formados por profesionales, tenían sus propios medios de vida. Tras la gran estabilidad que siguió a la mayoría absoluta del PSOE, muchos ciudadanos comenzaron a ingresar en los partidos para hacer de ellos su modo de vida. Gracias a las subvenciones del Estado, al ejercicio del poder y al dominio de las cuentas públicas a todos los niveles, los partidos se convirtieron en generadores de puestos de trabajo. Podían asegurar la vida de muchas personas, al punto que hoy abundan los políticos que no pueden ganarse el sustento fuera de sus respectivos partidos. Son los llamados “profesionales de la política”.

GRACIAS A FRAGA, NO HAY EXTREMA DERECHA EN ESPAÑA
¿Son capaces de regenerarse los partidos desde dentro? Desazona ver que ni siquiera sus secciones juveniles lo intentan...
Los partidos tienen capacidad para regenerarse, pero no el valor para hacerlo. Sería como cortarse un brazo. A efectos prácticos, no pueden. Es más, ante las demandas de cambio que les exige la sociedad, prefieren ejercer una resistencia pasiva.
Las juventudes que mencionas representan un ejemplo perfecto. Son cualquier cosa menos una organización rompedora. No tienen voz propia, no son críticos, están sometidos a la disciplina... deberían llamarse “senectudes políticas” en lugar de juventudes.
Entre izquierdas y derechas, ¿quién se ha escorado más hacia los extremos?
En el caso del PP y PSOE, no se puede decir que haya extremos. No son partidos radicalizados. IU podría ser la extrema izquierda del PSOE, pero el PP no tiene a nadie a su derecha.
¿Y eso por qué?
Porque Fraga consiguió aglutinar en su partido a la derecha franquista, la mayoría de cuyos miembros ya han muerto o están retirados. Hoy no existe extrema derecha en el panorama electoral español. El franquismo se encargó de desacreditar el concepto “derecha”. Y no sólo ése, también otro como la bandera de España. Entre los símbolos de la izquierda, no se encuentra la bandera de España.
Han pasado casi cuarenta años y parece que ya hay gente que empieza a proclamarse “de derechas”. Pero hasta ahora no lo reconocían y usaban otros términos: decían que eran “de centro”, o “liberales”.
¿Por qué tras las muerte de Franco el PCE no ganó tanta confianza del electorado como el PSOE?
Porque los socialistas consiguieron aunar los sentimientos de la izquierda con la moderación que imponían los tiempos, la cual empujaba a la gente a votar a partidos de centro.
¿Conseguirá ahora IU atraer al electorado descontento del PSOE?
Es posible, pero será de una manera circunstancial. Habrá que esperar a las elecciones para ver si pueden convertirse en una alternativa al PSOE. Yo creo que no.

"EL FRANQUISMO FUE UNA DICTADURA SUAVE AL FINAL"
¿Tenemos la imagen correcta del franquismo?
Debe pasar un poco más de tiempo para examinarlo con distancia y más objetividad. Todavía viven quienes lo han sufrido... y disfrutado.
El franquismo no ha sido tan estudiado tanto como la guerra civil. Al principio fue una dictadura militar durísima, después se convirtió en un régimen autoritario y terminó como una dictadura suave. Los fusilamientos de 1975 sólo consiguieron acelerar su agonía. Pero ya entonces la sociedad española estaba muy cerca de los parámetros occidentales.
La cólera que los españoles sienten ahora por la crisis ¿es comparable a la que se vivió tras el 23F o tras el asesinato de Miguel Ángel Blanco?
No, aquellas dos fueron muy intensas y muy precisas. En una se manifestó el valor y la decencia frente a unos militares que quisieron arrebatarnos la libertad y en otra estalló toda nuestra ira frente al terrorismo. En comparación con estas dos, la indignación que se siente ahora es más superficial porque es un rechazo a la situación económica, a su coste social y a la gestión que está realizando el Gobierno.
¿ETA ha muerto o simplemente se ha transformado?
ETA no ha muerto. Mientras no se disuelva públicamente estará viva. Lo demás son pamplinas. No tengo duda. ETA está viva.
¿Hay algún secreto de la Transición o del 23 F que no se haya contado?
De la Transición no. El 23F quizá necesite un par de vueltas más, pero se han aproximado bastente.
¿Hay algún miedo de que se investigue el 23F?
Yo creo que ya no afectaría a la democracia. Ha pasado mucho tiempo.
Durante la Transición los españoles quisieron evitar una nueva guerra civil. ¿Cree posible un estallido bélico en España por la secesión de Cataluña?
Me parece muy improbable ambas cosas: secesión y guerra. Ni España ni Europa están por una ruptura de la cuarta economía de la UE. Eso no es posible.

"A LOS PERIODISTAS NO SE LES ENSEÑA A TENER CRITERIO NI ESPÍRITU CRÍTICO"

Una última pregunta. Nuestra profesión de periodistas vive un cataclismo: empresas quebradas, despidos, una imagen mejorable... ¿saldremos de esta?
Coincido en que el panorama es descorazonador. La crisis está poniendo en la picota los medios. El oficio se ha devaluado. Hay tantos periodistas que muchos se han convertido en mendicantes de trabajo. Y cuando lo tienen, viven como vasallos. No se les enseña a tener criterio ni espíritu crítico. Sinceramente, no sé cómo saldremos de esta, pero es bastante claro que los ciudadanos siguen necesitando información.
Pero información hay, quizá más que nunca...
No me refiero a información volcada, como un camión de arena, sino a la información procesada, valorada, jerarquizada, firmada, con referentes de calidad... es decir, interpretada. Tener mucha información no significa estar mejor informado. A veces es incluso peor. El periodismo debe cumplir su viejo papel de intermediario entre sociedad y los poderes, entre la sociedad y los hechos.

Chastened King Seeks Redemption, for Spain and His Monarchy

With Spain mired in an economic slump, many Spaniards are questioning their king, long revered for his role in bringing democracy to the nation but now being scrutinized for his deluxe lifestyle and opaque fortune. New York Times.




After Juan Carlos broke his hip while elephant hunting in Botswana this spring, austerity-minded Spaniards were outraged. Copyright 2012 The New York Times Company

"une Nation d’illettrés"

 “Les connaissances des jeunes entrant en quatrième en 2023 ont fait l'objet d'une évaluation nationale portant sur 7 039 établissem...